Érasme
Érasme, dit Érasme de Rotterdam, ou Gerritszoon, c’est-à-dire « fils de Gérard », serait né à la date du 28 octobre 1469, à Rotterdam. Il est mort le 12 juillet 1536 à Bâle.
« Prince des humanistes », il est l’âme de la « République des Lettres » qui se met en place en Europe au début du xvie siècle. Moine et prêtre hollandais, il améliore sa formation à Paris, puis auprès des humanistes anglais. Il avait été nommé en 1516, conseiller à la cour de Bourgogne2 auprès du prince Charles, titre qu’il conserva quand celui-ci devint empereur du Saint-Empire germanique. Il se fixe de 1521 à 1529 jusqu’à son départ pour Fribourg-en-Brisgau, à Bâle3 en Suisse auprès de son éditeur.
Il quittera Bâle, suite à des désordres religieux, pour Fribourg, où il restera jusqu’en 1535. Il retourna enfin à Bâle en 1535 chez Froben pour surveiller son édition d’Origène. Il renonce à la carrière ecclésiastique pour se consacrer aux études. Il est en contact avec les savants de toute l’Europe par ses voyages et sa correspondance. Critique envers l’Église, il refuse de suivre les protestants parce qu’ils nient le libre arbitre de l’homme.
Source : Wikipedia
« Prince des humanistes », il est l’âme de la « République des Lettres » qui se met en place en Europe au début du xvie siècle. Moine et prêtre hollandais, il améliore sa formation à Paris, puis auprès des humanistes anglais. Il avait été nommé en 1516, conseiller à la cour de Bourgogne2 auprès du prince Charles, titre qu’il conserva quand celui-ci devint empereur du Saint-Empire germanique. Il se fixe de 1521 à 1529 jusqu’à son départ pour Fribourg-en-Brisgau, à Bâle3 en Suisse auprès de son éditeur.
Il quittera Bâle, suite à des désordres religieux, pour Fribourg, où il restera jusqu’en 1535. Il retourna enfin à Bâle en 1535 chez Froben pour surveiller son édition d’Origène. Il renonce à la carrière ecclésiastique pour se consacrer aux études. Il est en contact avec les savants de toute l’Europe par ses voyages et sa correspondance. Critique envers l’Église, il refuse de suivre les protestants parce qu’ils nient le libre arbitre de l’homme.
Source : Wikipedia