Jean de Santeul
Jean de Santeul, appelé aussi Jean-Baptiste Santeul ou Jean-Baptiste Santeuil, dit Santolius, né à Paris le 5 décembre 1630 et mort à Dijon le 5 août 1697, est un poète français néolatin.
Fils d'un bourgeois de Paris, important négociant en fer, il étudia à Paris au collège Sainte-Barbe et au lycée Louis-le-Grand. Il entra à l'abbaye de Saint-Victor en tant que sous-diacre sans jamais postuler les ordres supérieurs. Sa passion principale fut la poésie latine.
Il obtint un grand succès littéraire avec son Recueil de nouvelles odes sacrées, ainsi qu'avec ses poèmes célébrant et ornant les fontaines de Paris et publiés dans le Guide de Paris de Germain Brice. Il trouva un émule à Bruxelles en la personne du poète néo-latin Petrus van der Borcht qui orna de vers élégiaques les nouvelles façades des maisons de la Grand-Place de Bruxelles.
Saint-Simon raconte dans ses Mémoires qu'il mourut des suites d'une méchante plaisanterie du duc de Bourbon qui, pour rire, avait mis du tabac dans son vin. Cela se passa à Dijon.
Santeul fut un éminent représentant du latin vivant, à une époque où cette langue disputait encore sa prééminence sur le français et les autres langues vulgaires.
Source : Wikipedia
Fils d'un bourgeois de Paris, important négociant en fer, il étudia à Paris au collège Sainte-Barbe et au lycée Louis-le-Grand. Il entra à l'abbaye de Saint-Victor en tant que sous-diacre sans jamais postuler les ordres supérieurs. Sa passion principale fut la poésie latine.
Il obtint un grand succès littéraire avec son Recueil de nouvelles odes sacrées, ainsi qu'avec ses poèmes célébrant et ornant les fontaines de Paris et publiés dans le Guide de Paris de Germain Brice. Il trouva un émule à Bruxelles en la personne du poète néo-latin Petrus van der Borcht qui orna de vers élégiaques les nouvelles façades des maisons de la Grand-Place de Bruxelles.
Saint-Simon raconte dans ses Mémoires qu'il mourut des suites d'une méchante plaisanterie du duc de Bourbon qui, pour rire, avait mis du tabac dans son vin. Cela se passa à Dijon.
Santeul fut un éminent représentant du latin vivant, à une époque où cette langue disputait encore sa prééminence sur le français et les autres langues vulgaires.
Source : Wikipedia